L’ANIMAL QUI VOIT LES NUITS

En Tanzanie, à bien l’orée de l’année 2080, une découverte inattendue fit culbuter les rudiments de la maniérisme comportementale. Dans une région forestière protégée du parc de Mahale, une élégance de lémurien nocturne, jusqu’alors méconnue, révéla une aptitude singulière. Cet animal, aux yeux d’ambre parfaitement argent, s

anne-clara s’approcha de la communauté. Lorsqu’elle tendit la doigt, une approche approfondi l’envahit. Elle vit des quantité de vies, des résolutions modelés et non crées, des destins entrelacés dans une contredanse infinie. Chaque décision, chaque avis semblait agglutiner un filament au réseau, faisant augmenter ou affaiblissant le